-
Suite au bout de tes silence ô vent
Peut-être que je viens d’ailleurs…
Je suis allée jusqu’au bout de tes silences, ô mon merveilleux vent d’amour dont je ne connais plus le nom de tes brises, je sais seulement que tu es le vent.
Tu es le vent que j’ai aimé. J’ai aimé les sourires dans tes yeux, j’ai aimé ta voix grave, j’ai aimé ta solitude qui te met à part des autres, ce seul monde secret qui est tien. Toi, tu ne connais que le langage des oiseaux parce que c’est sur ton aile, qu’ils s’envolent. S’ils chantent c’est parce que tu aimes les écouter, ton cœur est épris de leur voyage.
Moi j’aime la mer car c’est d’elle dont je suis prise. Je suis océan, mer, fleuve, grandes déferlantes, marées, rivière bleue, ruisseau. Je suis vague bercée par le vent. Mes amis sont les oiseaux des mers tels les mouettes, les goélands et biens d’autres encore. Eux seuls m’ont appris des multitudes de mots bercés par le vent. Le pourquoi mon seul amour est le vent. Le pourquoi mes mots ne sont que des mots d’amour.
Souviens-toi, la mer et le vent c’était nous. Mais un jour ce vent a quitté la mer. Je n’ai jamais compris pourquoi que je n’allais que de naufrage en naufrage. Les écueils ne sont plus désormais que des cimetières vivants, vois je cherche les îles de ton amour, ses grandes plages blondes qui ont caché tes rêves. Je parcoure les berges criant ton nom mais seul l’écho de ma voix me revient en sourdine. Mais pourquoi m’ignores-tu ainsi ? Ne sais-tu pas combien j’ai mal, comme dans sur la furie des vagues, je me perds et je me noie. Je suis malade, malade d’amour.
Je ne suis pas d’ici je crois. Sans doute, je viens d’ailleurs d’une autre lointaine galaxie. Hors de notre système solaire. Nous ne parlons pas ce même langage. Moi, je ne connais que le langage des oiseaux des mers et le langage des vagues. Je ne suis sans doute pas une humaine, façonné du même matériau de poussière que ceux de la terre.
Mais toi que j’aime, mon merveilleux vent d’amour, je sais que tu parles aussi du langage des vagues. Ne le nie pas car je le sais. Tu as parcouru en bateau ivre, tant de royaumes. Quand entendrai-je à nouveau l’écho de ta voix ?
Chaque jour, je sonde les flots bleus pour te voir, chaque nuit, je m’évade dans ton rêve pour croiser les sourires de tes yeux. Chaque jour, l’espoir entre sous l’arche du désespoir et je me vois en train de sombrer. Puis des lendemains de soleils reviennent me bercer avec l’espoir d’entendre à nouveau, le son de ta voix .
Me reviendras-tu mon merveilleux vent d’amour que désespéramment, j’attends. Sans toi, je ne peux pas vivre.
-
Commentaires
bonjour jane!!!
c'est toujours tres triste ce que tu ecris
mais tres beau!!bonne journee et bisous
C'est toujours aussi bien écrit, dommage qu'il y ait tant de tristesse et de désespoir.
Bises
coucou JANE
ph mince la sinusite c'est gênant
j'espère que ça va vite aller mieux
très joli ton poème
merci pour ta gentille visite
courage et bon mercredi
gros bisous tendresse
♥♥ danie ♥♥
♥
Ajouter un commentaire
belles paroles d'amour
beau moment venu d'ailleurs
ou faut il trouver son bonheur ?
si l'amour ne vient pas un jour