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    Mon pays c'est toi

     

     

    Mon pays c'est toi

     

    Mon pays c'est toi, ma Rivière bleue

    Dans la municipalité du Témiscouta

    C'est toi qui fait chanter les oiseaux amoureux

    Des beaux jours, encore au seuil du trépas

     

    De l'automne faisant son entrée colorés

    Sous la danse du vent qui me berce.

    Mon pays c'est le nectar de tes baisers

    C'est ses pluie d'averses en tes ivresse.

     

    Mon pays, c'est la rumeur de tes caresses

    Et les mots d'amour que tu ne dis pas

    C'est ce ciel endormi sur ta tendresse,

    Ce velours imprégné d'étoiles en tes bras.

     

    Mon pays, c'est toi ô ma Rivière bleue

    Sous la houle des voiles de ton coeur ivre.

    C'est toi qui me consume de ton feu

    C'est toi quand tu m'aimes et m'enivre.

    ©Janedeau


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    Vous voilà

     

     

     

    Vous voilà

     

    Quand je m'endors avec les étoiles de vos yeux

    Sous l'étoffe des paillettes de brume de mes nuits

    Votre corps m'apparait dans un rêve merveilleux

    Où vous et moi poursuivons des chemins fortuit.

     

    Je vous vois dans la clarté d'un ciel bleu d'été

    Avec des milliers de sourires sur vos lèvres.

    Où le soleil dépose sur ma peau vos baisers.

    Les frissons portant notre amour n'ont point de trêve.

     

    Comme je vous aime quand chante votre coeur.

    Des milliers de bateaux ivres longent mes rivages.

    La vague de vos désirs étreint mon bonheur

    quand à chaque instant apparaît votre image.

     

    ©Janedeau


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    and je pense à toi

     

     

    Quand je pense à toi

     

     

     

    Quand je pense à toi, les rimes du soleil me récitent tes mots

     

    Et j’ai dans les yeux la danse des étoiles qui chavire mon âme.

     

     

     

    Tes baisers sur l’onde des flots bleus voyagent sur mes rivages

     

    Et je sens ton corps enfiévré se blottir en la lune de mes rêves.

     

     

     

    Douce se plait la nuit à rêvasser sous l’ivoire d’un ciel amoureux

     

    Quand tu déposes tes lèvres sur la volupté de mes délires.  

     

     

     

    Nulle envie plus forte que celui des vents fous du désir t’appelle

     

    À déposer ton cœur sur l’éclosion passionné de mes berges blanches.

     

     

     

    Les heures qui passent retiennent ton ombre sur ma couche.

     

    Entremêlés et liés à jamais, nous supplions le temps de s’arrêter.

     

     

     

    ©Janedeau

     

     


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    Rivages morts

     

     

     

    Je ne crois plus à ces bouquets d’écume

     

    Qui fleurissent et parfume le fond du ciel

     

    L’hiver recouvre la terre de rivages morts

     

    Et le cœur glacé, je m’enfonce inconsciente.

     

     

     

    La clarté fade du jour n’a pas prise sur moi

     

    Il fait noir comme la nuit, je ne vois plus rien

     

    Et les ombres qui sortent me crient de quitter

     

    Ce monde fou, qui me refuse l’amour.

     

     

     

    Ne pensez pas que je n’ai pas essayé ni lutté

     

    Toutes ses années à remplir des rivières de larmes.

     

    Le bonheur c’est sûr n’a jamais été pour moi

     

    Il s’est habillé d’algue, de jonc et de ronce.

     

     

     

    Je ne suis que vent glacé, orage et tempête

     

    Le temps sur les flots me berce de douleur

     

    L’enfer est dans mon cœur, ma flamme s’éteint

     

    Surtout ne dite rien, rien car vous ne savez pas.

    ©Janedeau


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  • Désir enivrant

     

     

    Désir enivrant

     

    Quand revient l’automne au fond des bois

    Et que les couleurs charment mon cœur

    J’aurais envie de revenir auprès de toi

    De prendre le  train des étoiles de tes yeux.

     

    J’aurais envie de crier au monde, ton nom.

    De saisir en mes mains les arcades du soleil  

    Je voudrais étancher sur tes lèvres, à jamais

    Ma soif de baisers, boire à l’infini, tes désirs.

     

    Mais déjà que l’automne pleure des rivières

    J’ai le cœur remplit en torrents de détresse.

    Ton amour qui manque à ma vie m’enténèbre

    Dans les nuits sans lune de mes rêves fous.

     

    ©Janedeau

     

    Désir enivrant

     

     


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