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    Musique et poésie pour Serge

     

    À la prochaine lune

     

    À la prochaine lune

     

    À la prochaine lune, les bras chargés de désirs, à ta porte, je viendrai frapper.

    La nuit bercée par tout mon amour pour toi, déposera dans tes yeux, des brouillards d’étoiles.

    Mes baisers sur ton corps seront le commencement d’un sublime roman d’amour.

     

    Dans nos mains entremêlées, montreront les grandes marées frissonnantes.  

    Mille bateaux ivres appareillés au quai de nos iles verdoyantes feront alliance

    avec l’ivresse de nos cœurs.

     

    Nul chant ne sera plus doux que celui de ta voix amoureuse. Les oiseaux chanteront des airs étourdis

    par la beauté d’un si profond amour. Enlacés, nos deux regards épris iront se perdre

    dans la brume des grands champs d’été. Le jour, depuis sa naissance n’a jamais vu je crois, si

    grand amour.  Le printemps dans ses hardes de pluie, pressé, éveillera la terre endormi dans l’hiver.

    Pour nous, les immenses vallées au cœur d’or fleuriront en millier de coloris encore jamais vues. Les grandes cimes

    des arbres abriteront nos ombres emmurées de soleil. Dans la forêt peuplée de roses sauvages, des lits de mousse

    s’étendront pour nous accueillir après une longue chevauchée en moto. Dans les yeux, nous aurons des paysages de rêves

    à revivre et à imaginer dans nos soirs de tempêtes.

     

    Tu seras ma soif, mon envie, mon désir, je boirai tes silences. Tes soupirs m’enivreront.

    Dans tes bras, je dormirai en ton rêve. Déjà à penser à toi, si fort, j’ai faim de tes baisers,

    mon corps frissonne, j’ai envie de te voir et je voudrais que tu m’aimes.

     

    Janedeau (4 recueil)

     

     


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    Dédié à Serge

     

    Dans ses yeux

     

    Dans ses yeux, je voyais la mer et les grandes îles. Je voyais des bateaux flâner le long des quais. Les vagues teintées de ciel infini m’emportaient faire naufrage au creux de ses bras. Ô comme il était doux de rêver de lui. Le soleil déposait dans mon cœur, sa flamme.

     

    C’est comme cela que j’ai appris à aimer la mer et le langage des oiseaux marins.  Les grandes mouettes et goélands des mers connaissent bien les routes maritimes et tous les secrets de l’univers. Ils ont même déposé sur l’aube, des voiles d’étoiles pour rêver.

     

    Dans la brume de ma raison, je revois les sourires de ses yeux et la joute sublime de nos deux cœurs enchâssés. Il est resté mon grand amour, celui qui sème la brise. Il éveille les rêves à l’amour.  Les phalènes n’éclairent plus l’euphorie de la nuit car à chaque instant, le soleil brasille sur ma vie.

     

    Dans ses yeux, je ne vois que des paysages de rêve.  Les grandes vallées exaltent des mélodies où les champs d’asphodèles, les violettes et les roses annoncent le printemps des amours.

     

    C’est toi qui faits fleurir la romance de mes mots quand je t’écris. Il y a dans tes yeux, des rives où dorment les rameaux des berges et où s’éveillent mes rêves de toi. Il y a aussi la beauté des cieux qui m’abreuve.

     

    Complice et éprise, mon âme papillonne autour de tes yeux.

    ©Janedeau

     


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    Beatifull laidy

     

     


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